TOUT LE CHARME DU FESTIVAL

TOUT LE CHARME DU FESTIVAL

Déborah MATHEY
(FRANCK HIROQUOY)
(FRANCK HIROQUOY)
« Bay la té cho! » Victor O a été littéralement soufflé par l'accueil qu'a reçu sa musique. Son inspiration ? Il la puise dans les différents styles musicaux de la Caraïbes. Le rythme enlevé ou langoureux, des paroles en anglais, français, espagnol et créole. Style pluriel, langues plurielles pour un écho unique et puissant au sein du public. (FRANCK HIROQUOY)
« Bay la té cho! » Victor O a été littéralement soufflé par l'accueil qu'a reçu sa musique. Son inspiration ? Il la puise dans les différents styles musicaux de la Caraïbes. Le rythme enlevé ou langoureux, des paroles en anglais, français, espagnol et créole. Style pluriel, langues plurielles pour un écho unique et puissant au sein du public. (FRANCK HIROQUOY)
MUSIQUE SUAVE ET RYTHMES ENDIABLÉS. En lieu et place de la tempête attendue, c'est dans une ambiance assez tempérée que s'est déroulée cette onzième édition du Festival. Après une ouverture officielle en grande pompe vendredi soir au Kawann Beach Hôtel, le Festival a décliné ses différentes facettes tout au long du week-end. Ambiance paillettes et jet-set pour Michel Mado et ses musiciens qui ont véritablement communié avec leurs instruments pour offrir des heures de musique suave et pleine de saveur. À l'inverse, au Village, l'esprit était résolument populaire avec le son des ka d'Akiyo et la voix du parrain qui ont envoûté les corps pour les pousser à danser jusqu'à l'aube.
Samedi...

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