Le LKP fait planer le spectre d'une radicalisation en... janvier

Le LKP fait planer le spectre d'une radicalisation en... janvier

B.C.
Pour le deuxième jour du mouvement, les militants et sympathisants du LKP ont une nouvelle fois trouvé grilles fermées à la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre. (B.C.)
Pour le deuxième jour du mouvement, les militants et sympathisants du LKP ont une nouvelle fois trouvé grilles fermées à la sous-préfecture de Pointe-à-Pitre. (B.C.)

Une nouvelle fois le LKP s'est fait éconduire devant les grilles cadenassées de la sous-préfecture. Échaudée par ce nouveau refus, l'organisation dit « envisager d'autres formes d'actions »

Ils n'étaient qu'un petit millier (500 selon les autorités) à avoir répondu au rendez-vous lancé la veille au soir par les représentants du Liyannaj Kont Pwofitasyon. Parti du Bik, le cortège n'avait qu'un objectif en vue, hier : faire le siège de la sous-préfecture, en se massant dans le calme et en musique devant les grilles verrouillées et cadenassés du bâtiment.
« Depuis ce matin, ça va et ça vient. Des camarades arrivent quand d'autres partent. L'essentiel, ce n'est pas le nombre. C'est de tenir » , expliquait en fin de matinée un manifestant, en bravant l'écrasante chaleur qui avait envahi la...

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