Gwoka à l'Unesco : bokantaj avec les initiateurs
POINTE-À-PITRE

Gwoka à l'Unesco : bokantaj avec les initiateurs

Katia TOURÉ
De gauche à droite : Félix Cotellon, directeur du centre Rèpriz, Didier Bérald-Catélo, organisateur du Festival gwoka Sentann et Marie-Héléna Laumuno, chanteuse et auteur spécialiste du gwoka.
De gauche à droite : Félix Cotellon, directeur du centre Rèpriz, Didier Bérald-Catélo, organisateur du Festival gwoka Sentann et Marie-Héléna Laumuno, chanteuse et auteur spécialiste du gwoka.

Le Comité Lyannaj pou gwoka, piloté par le Centre régional des musiques et danses traditionnelles et populaires de la Guadeloupe (Rèpriz) a tenu, mardi soir, un kozé-bokantaj. L'objet : justifier la décision de l'Unesco d'inscrire le gwoka au patrimoine culturel immatériel de l'humanité.

C'était le 26 novembre. Le gwoka se retrouvait inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'Unesco. Une victoire pour le Comité lyannaj pou gwoka, présidé par Félix Cotellon, directeur du centre Rèpriz (association et ONG accréditée par l'Unesco depuis 2007). Aux côtés de nombreux organismes culturels de l'archipel, Rèpriz a largement oeuvré à cette reconnaissance internationale du gwoka, avec l'appui de collectivités locales et du conseil régional.
Le comité a donné rendez-vous mardi...

Suivez l'info en temps réel
sur l'appli France-Antilles !

Télécharger