Un navire de pêche détruit par la marine nationale

Un navire de pêche brésilien surpris dans nos eaux pour la énième fois a été dérouté puis détruit par la marine nationale après une décision de justice.
Le capitaine du navire, placé en garde à vue dès son arrivée à quai, a été auditionné pendant 24 heures. Il devrait passer très prochainement devant le tribunal correctionnel.
Dans l'Ouest, les forces armées en Guyane (FAG), les affaires maritimes et l'Office français de la biodiversité (OFB) ont arraisonné huit embarcations étrangères ayant permis la saisie de 16,5 tonnes de produits de la pêche capturés sans autorisation.
Ces opérations répondent aux inquiétudes des pêcheurs professionnels et amateurs qui constatent une présence accrue de pêcheurs illégaux comme dans ces reportages de Guyane la 1ère (à lire ici et ici).
Vos commentaires
Il faut déclarer à guerre à ces navires pirates et les torpiller après 3 coups de semonce ! Le problème sera vite réglé !
La lutte contre la pêche illégale n'est qu'une question de volonté politique . Pourquoi nos patrouilleurs ne sortent que si rarement ? Pourquoi les baser à Kourou et non à Saint-Laurent ?
Ils se cachent dans la mangrove , et l'état Français n'a pas les moyens techniques et financiers d'aller les cueillir ??? Nos voisins rigolent bien de nos " forces de l'ordre " , et ils ont bien raison , nos gouvernements successifs , nos préfets à répétition , tous des incapables ... Et nos élus locaux ? Pas très virulents !!! Et encore moins efficaces !!! Nos deux nouveaux députés qui devaient remuer ciel et terre ont gouté aux dorures des palais parisiens , sont devenus comme les autres , des fruits pourris !!!
Question de pognon… Police, justice, hôpitaux,…en pénurie de moyens et sous-effectif chronique dans l’hexagone. La Guyane lointaine, n’est donc pas une priorité en terme de dépenses régaliennes. Peu de moyens, donc peu d’efficacité…Sauf évidement à fantasmer sans vergogne sur un changement de cadre, autorisant le rétablissement de ces si vertueuses «normes premières», psalmodiées par quelques vagues exaltés. Pour rétablir par exemple des normes primitives d’intervention intrinsèquement bien plus économes et efficaces, tel le tir à vue par exemple (hein, JayJay). L’illumination des exaltés résidant aussi au passage, dans le fait de croire que la France consentirait à ce genre d’abaissement de son standard de civilisation. Les députés auront beau s’exciter sur le banc de l’assemblée, la mère patrie ne lâchera donc pas si facilement le pognon et elle ne reniera pas pour autant ses valeurs.