Antoine Defives : quand le confinement profite au roman
CULTURE

Antoine Defives : quand le confinement profite au roman

Xavier-Paul LE PELLETIER
© Emmanuelle Jolivet
© Emmanuelle Jolivet

Jeune journaliste, pourtant déjà bien rôdé au monde de la presse et au visage bien connu des guyanais, Antoine Defives s’est installé chez nous un peu au hasard des pérégrinations que la situation sanitaire a pu provoquer. Qu’à cela ne tienne, plusieurs présentations du JT de Guyane la 1ere plus tard, Antoine a su mettre le temps libre dont il a pu disposer pour rouvrir de vieux dossiers. Comme ce roman fantastique écrit durant son adolescence et au sein duquel il n’aura pas manqué de distiller quelques touches de ses inspirations guyanaises.

 A propos de cette première œuvre, Antoine Defives reste modeste, presque timide. « Il s’agit d’un livre que j’ai démarré avant même d’avoir mon propre ordinateur. Je me levais en cachette le matin pour écrire sur le poste familial avant que mes parents ne soient levés » explique-t-il.

Pourtant à constater l’épaisseur de l’ouvrage qu’il nous présente, il apparait tout à fait évident qu’il s’agit d’un ouvrage considérable. Rien de moins que six cents pages ! Et si quantité ne rime pas avec qualité, dans le cas de ce premier roman signé du jeune reporter, on ne peut que constater combien son écriture devrait satisfaire les plus mordus des amateurs de littérature...

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